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« Nous devons dépasser cette division entre nature et culture et reconnaître qu’en fait, les humains et la culture humaine font partie intégrante de la nature. »
Tom Rowell, Palais de Tokyo
Arrière-plan
Les activités des entreprises ont un impact sur l’état de la nature. Cela a été démontré dans de nombreux rapports, notamment celui du Groupe de travail sur la divulgation financière relative à la nature et les rapports Planète Vivante du WWF . L’ accord de Paris de 2015 et le Cadre mondial pour la biodiversité ont tous deux fixé 2030 comme « échéance » critique pour garantir une Terre vivable en atteignant les objectifs fixés. Pourtant, 6 des 9 limites planétaires des systèmes terrestres ont été franchies.
Contexte
Les activités des entreprises ont un impact sur l’état de la nature. Cela a été démontré dans de nombreux rapports, notamment celui du Groupe de travail sur la divulgation financière relative à la nature et les rapports Planète Vivante du WWF . L’ accord de Paris de 2015 et le Cadre mondial pour la biodiversité ont tous deux fixé 2030 comme « échéance » critique pour garantir une Terre vivable en atteignant les objectifs fixés. Pourtant, 6 des 9 limites planétaires des systèmes terrestres ont été franchies.
Pour comprendre cela, il faut commencer par reconnaître que, d'une part, les entreprises dépendent des services écosystémiques pour fonctionner, et que, d'autre part, leurs activités ont un impact négatif sur les écosystèmes et la biodiversité. Le point essentiel à retenir est que la nature est l'une des principales parties prenantes d'une entreprise.
L’importance croissante de reconnaître que la nature et les entreprises ne sont pas séparées se reflète dans le recours croissant des investisseurs aux mécanismes de reporting et de divulgation des données environnementales, sociales et de gouvernance d’entreprise (ESG). Elle se manifeste également dans l’émergence d’obligations de rendre compte des informations liées au climat et à la nature dans diverses régions (voir la CSRD de l’UE, la règle finale 1 de la SEC des États-Unis et les politiques financières ESG sur le continent africain).
En réponse à ces facteurs de motivation et à d’autres, des dirigeants innovants ont pris la décision de formaliser le rôle de la nature dans leurs entreprises. Notre recherche et notre boîte à outils documentent dix de ces organisations, mettant en valeur leurs histoires uniques. Chacune a sa propre motivation pour Onboarding Nature, généralement une combinaison d’inquiétudes concernant l’état du monde et d’enthousiasme quant aux avantages que l’intégration de la nature peut apporter. De même, chaque entreprise a une compréhension différente de la nature et une manière unique de formaliser la voix de la nature. Néanmoins, notre analyse de ces études de cas a identifié quatre modèles uniques pour formaliser la nature en tant que partie prenante : la nature comme inspiration, la nature comme actionnaire, la nature comme conseiller et la nature comme administrateur. Ces quatre modèles aident à fournir une base conceptuelle pour comprendre la gouvernance inclusive de la nature.
Les entreprises sont particulièrement bien placées pour faire face aux crises environnementales et explorer des solutions, car elles sont des foyers de réflexion créative, de solutions innovantes et d’idées révolutionnaires. Nous espérons que ce projet vous incitera à envisager de nouveaux rôles de la nature dans votre entreprise et qu’il vous fournira des outils pratiques pour y parvenir.